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Objectif 2015 : L'Alpe d'Huez

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Alors que les débats vont bon train pour définir l'objectif club 2016, il est plus que temps de revenir sur celui de 2015, où les épreuves de duathlon et triathlon de l'Alpe d'Huez avaient été plébiscitées une nouvelle fois par les Nantes Tri.

Le mardi 26 juillet avait lieu le duathlon, où Romain se lançait en solo (parmi les quelques 317 autres arrivants) sur la montée de l'Alpe. Un enchaînement de 6.5 km de course à pieds, 15 km de vélo (dont la montée de l'Alpe) et 2.5 km de course à pieds (à 2000 m d'altitude).

Isabelle, Goustan, Jean-Marie, Mika, Christophe, JFLC, JF Clémenceau, Thomas et Will s'élançaient le jeudi sur le triathlon longue distance. Au programme, 2.2 km de natation dans le lac du Verney, suivis de 115 km (dont l'Alpe du Grand Serre, le col d'Ornon et l'Alphe d'Huez, rien que ça) et de 22 km de course à pieds à 2000 m d'altitude.

Chapeau, les Nantes Tri !

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D'autres images dans le résumé du LD de l'Alpe d'Huez diffusé sur Canal+ Sport, où vous pourrez tomber sur pas moins de 6 Nantes Tri, si notre fin observateur ne s'est pas trompé !

Résultats Triathlon LD

Classement Nom Cat. Temps Natation T1 Vélo T2 CàP Grimpée de l'Alpe
1 GUILLOUX Arnaud
MS2 5:55:14
0:31:48 0:01:49
 3:53:14
0:00:42  1:27:41
0:53:57
20
POOLEY Emma
FS3 6:21:49
0:38:33 0:02:59
4:08:39
0:01:00 1:30:37
0:55:22
164 Goustan MS4 7:29:58
0:38:50 0:02:22 5:01:36
0:03:41 1:43:29
1:19:29
181 Jean-Marie MV1 7:34:15
0:45:27 0:03:48 4:56:01
0:02:46 1:46:12
1:12:56
267 Mika MV2 7:52:48
0:37:19 0:04:20 5:12:21
0:04:11 1:54:38
1:19:53
387 Christophe MV1 8:14:58
0:47:02 0:04:40 5:17:50
0:01:57 2:07:09
1:21:59
602 JFLC
MV2 9:04:55
0:47:43 0:06:24 6:07:04
0:04:14 1:59:30
1:34:07
606 Isa
FV2 9:06:09
0:48:18 0:04:39 6:01:43
0:02:44 2:08:46 1:35:03
781 Thomas MS3 9:59:46 0:55:56 0:04:15 6:10:22 0:04:05 2:45:10 1:38:11
805 JF Cl.
MV1 10:14:07 0:57:57 0:11:17 6:45:47 0:04:15 2:14:51 1:39:13
834 Will MS4 10:37:38 0:57:02 0:06:57 6:41:48 0:03:31 2:48:20 1:47:29

 Résultats Duathlon

Classement Nom Cat. Temps CAP1
Vélo CAP2 Grimpée de l'Alpe
1 LE BERRE Yohan
MS2 1:19:55
0:20:25 0:50:18
 0:09:12
0:47:01
28
ZIEMONS Kristina
FS3 1:34:17
0:24:38 0:59:16
0:10:23
0:55:45
219 Romain MS3 2:09:27
0:31:43 1:23:29 0:14:15
1:18:37

Plus de résultats >> ici << Pour plus de renseignements, direction >> le site internet des épreuves <<

Comptes-rendus à la suite.

 

Romain, sur le duathlon :

Sitôt l'inscription faite courant janvier, je me demande bien dans quelle histoire je me suis embarqué, je n'ai pas encore fait d'épreuves avec transitions et gravir des cols à 10%......je n'imagine même pas. Mais après tout, pourquoi pas. Si je vise la lune et que je la rate, je serai au moins dans les étoiles. (Et on remercie Oscar Wilde pour la citation !!)  =D Entrons, si vous le voulez bien, dans le vif du sujet :

Le 29 juillet approchant à grands pas, je commence à intensifier les séances en vélo ....en mai, après quelques discutions avec Jeff (que je remercie chaleureusement au passage) y'a pas à hésiter faut aller se faire mal. Les dimanches matins sont alors une succession de passages à butte Ste Anne puis la semaine suivante, direction le chemin pavé, histoire de se faire les jambes. Les jours avancent, la date arrive, et je stresse pas mal, surtout que niveau Cap, je baisse ! (En même temps, sans s'entraîner, ça n'aide pas vraiment !) Je crains l'échec n'ai-je pas placé la barre un peu trop haute ?

Puis, vient le joli mois de juillet, mois ou se mêlent et s'entremêlent nombres d'épreuves sportives. Mais une retiendra mon attention, l'avant-dernière étape du Tour. Depuis quelques jours, j'étais perché sur le home trainer, suivant les étapes, en râlant sur les commentaires, sur les attaquants qui se font rattraper comme des lavettes à 10 bornes de l'arrivée, et que j'aurais bien collé un coup de pompe dans le c.. de Quintana, histoire qu'il attaque Frome avant la fin... En résumé, j'étais à fond sur mon objectif.

Celui-ci se rapprochant, je vois à la télé, un reportage sur les hollandais installés dans le virage 7. Tous les ans, nos amis orange organisent une montée caritative quelques jours avant le passage du tour. Cette montée a pour but de récolter des fonds contre le cancer. Le but est simple. Plus tu montes de fois dans la journée, plus l’asso en récolte. Alors tout le monde s'y met, non sportifs compris ! A ce moment, c'est le déclic. S'ils y arrivent, moi aussi, y'a pas de raison !!!!

Le vélo est prêt, le braquet sera du 34*28, 34*25, si je me sens d'humeur taquine.... Changerais-je de pignon. Patience, public un peu de patience...

Je passe sur la route, mais en gros, j'arrive le mardi sur Grenoble pour repartir le jeudi. Une bonne nuit de sommeil, et le mercredi arrive. Je ....charge.....le....vélo.....et bien sûr le doute m'habite (et non, pas le contraire). La chambre à air ne convient pas, en cas de crevaison, la valve n'est pas assez longue. Dernier achat au Dkt de Grenoble, et c'est parti !

Temps prévu, plutôt nuageux. J’enfile la trifonction, et je prends la veste pluie au cas où...

Après avoir descendu les virages, je pose le vélo au T1 de Bourg d'Oisans. Nous sommes "rangés" par département, j'engage la conversation avec un gars du Trivéloce et 2 TCN. On discute de la pluie et du beau temps, surtout que le 1er nommé arrive. Vers 15h30, le déluge commence, et s'arrêtera vers 18h... Ah, les joies du sport au grand air....

Bref, stratégie de course : Je pars pour les 6.5km à 4.30 tranquille. Je garde de l'énergie pour les virages. Je finis en trombe les 2.5kms restants !

Après une partie Cap un brin laborieuse et boueuse, j'arrive au T1. Je ne suis clairement pas dans les 1ers ! Je prends le vélo je fonce tête baissée vers les 21 virages. Tout à gauche (merci Jeff à nouveau) pour le braquet, et je monte au train. Je passe La Garde en 18mn, je vois les autres en baver autant que moi, ce me rassure ! Les jambes répondent, elles répondent même très bien, à partir du 8eme km je commence à me mettre en danseuse. Je remets du braquet. J’accélère. Aucune douleur. Je garde en tête, les hollandais qui montent 2, 3, 4, 5,6 fois de suite l'Alpe, ça me remet un coup de boost dans les 3 derniers virages qui sont un poil plus pentus. Je suis les conseils. Si je passe La Garde, les pentes sont ensuite un peu plus "simples", le final l'est beaucoup moins ! Je garde donc du jus pour la fin du vélo. La station pointe son nez, j'y arrive, ça descend un peu, je remets du braquet, les jambes tournent. Je pose le pied à T2, jusqu'à présent, je ne suis certes pas dans les meilleurs, mais pour le moment, je suis presque arrivé. Mais la Cap ne se passera pas vraiment comme je l'espérais, car à peine posé par terre, je sens de suite que les crampes me montent dans les cuisses. Finalement, en serrant les dents (et le reste aussi) je finis les 2.5kms en 13mn, j'ai un peu honte, je me suis fais avoir comme un bleu (en même temps, je suis un bleu =D )  j'aurais dû mouliner plus !

Je finis donc en 2h9m26s, et 219ème. Épuisé et crampé de partout, mais je finis ! Je retrouve mes compagnons nantais dans les bains à remous, on se délasse, plaisante. Y’a pas à dire, c'est plutôt cool les spa !!!! =) Je récupère mes affaires, et je repars à 19h, avec 12° de température extérieure... Direction l'hôtel à Grenoble, grignotage, douche, et dodo.

Je repars donc de cette aventure qui fut ma 1ere pour moi avec du positif, et les points restant à travailler, mais je brûle d'envie d'y retourner et d'améliorer mon temps !

 

Mika, sur le longue distance :
 
Voici l’histoire du LD de l’Alpe d’Huez, version 2015.
C’était un des objectifs club de l’année. 9 Nantes Tri sur le long + Romain sur le duathlon + Antoine (finalement forfait) sur le M.
En 2012, il s’agissait déjà d’un objectif club auxquels Chris & Zaza avaient participé (en plus de Titi et de Djé, les autres s’étant inscrits sur le court).
 
Nous avons un logement à Bourg d’Oisans du mercredi au samedi (au pied de l’Alpe pour ne pas faire l’erreur de passer quelques jours en altitude avant de faire le triathlon – expérience réussie de Zaza de 2012). La course est le vendredi, cela nous permettra de nous mettre dans la course tous ensemble.
Jeff LC et Goustan sont en famille et ne sont donc pas avec nous dans l’appartement.
Noëllie est la supportrice des 7 Nantes Tri de l’appart à faire le long : Jeff Clem + Thomas + Jean-Marie + Isa + Chris + Will + moi.
Mercredi : récupération de l’appart’ + course + tarot ;-)
Jeudi matin : récupération des dossards + reconnaissance de la montée de l’Alpe (en voiture) + du parcours de CAP (toujours en voiture)
Jeudi apm : petite sieste + tarot + un peu de vélo. Là, plusieurs options sont prises. Nous canalisons Jeff, Thomas & Jean-Marie prêts à faire toute la montée de l’Alpe (les vrais frapadingues). Ils ne feront que les 2,5 premiers kilomètres (les plus durs). Isa suit son plan d’entrainement et va rouler 45’ en plaine. Je suis Chris et Will qui prennent la direction de l’Alpe pour faire 2/3 virages. Je n’en fais qu’un et j’attends sagement Will & Chris qui font finalement quasiment aussi les 2,5 kms jusqu’à la Garde.
En rentrant, préparation des sacs, bouffe et réglage du réveil (là encore plusieurs stratégies). Jeff sera le premier vers 6h00, les autres quasiment tous vers 6h30.
 
Vendredi : LA COURSE
Tous partent au départ à vélo (à environ 15 kms de notre appart). Il fait frais mais c’est normal à cette heure en montagne, par contre, il est annoncé chaud. Cool, cela m’aurait fait ch... de faire la course comme Romain sous la flotte. Va pour un sprint ou un M, mais pas pour 8h00 d’effort ! Bref, je prends l’option voiture avec Noëllie et l’ensemble des sacs de tout le monde (c’était un risque de la laisser toute seule pour qu’elle ne se paume pas non plus avec les sacs de tout le monde).
 
Allez hop, on est sur place et les Nantes tri ne tardent pas à arriver à vélo.
Le soleil passe par dessus les montagnes et il commence à faire très bon.
On dépose le sac de la transition 2 et le sac de ravitaillement et re-hop, on s’installe dans le parc.
On est regroupé par département, on se retrouve entre le TCN et le TCA (un de mes potes Stéphane, le fait).
On retrouve enfin Goustan et Jeff LC, ils ont le sourire comme d’hab’. Tiens Frédéric, le frère de Goustan est là aussi (il avait fait Nice avec nous).
La température est annoncée à 15,5° (chaude quoi !). Bizarre, d’ailleurs la précision de ce 0,5° ? C’est vrai qu’il est de tradition dans le peloton triathlétique d’annoncer des eaux toujours plus froides.
Finalement, elle est.. arg... ah oui quand même... heureusement qu’ils ont ajouté ce 0,5... on va dire qu’elle est "supportable". Ouais, c’est ça, y’a quand même pire comme température.
Seul petit problème, on se met à l’eau et on attend le départ 10’. Suffisant, pour commencer à ne plus sentir le bout d’un pied.
Allez BIM, c’est enfin parti pour 2 tours.
Tout se passe à peu près bien sauf qu’à la première bouée, normal, ça tabasse (le triathlète est assez grégaire et aime la proximité d’autres triathlètes), on tourne et là, le soleil rasant dans la tronche, on ne voit plus rien du tout.
Allez on fait confiance aux pieds qui sont devant. Ca passe assez vite finalement. Même si je sens mes mollets qui deviennent durs à cause du froid, ils ne crampent pas.
Je sors de l’eau. Tiens un gars refait un tour... Arf mince, il n’est que dans son premier tour et béééé pas sûr qu’on l’autorise à finir son 2ième tour de natation (la natation de l’Alpe se fait dans un lac utilisé par EDF, et le barrage est arrêté seulement 1h30... Tant pis pour les retardataires, ils seront sortis de l’eau avant). Je remets les pieds sur terre. Arffff re-mince, je suis à moitié grogui, sans doute à cause du froid. Je n’arrive pas à poser non plus les talons par terre, tellement mes mollets sont tendus...
Oulaaaaaaaaaaa, bon ça va quand même, cela ne s’amplifie pas.
Je retrouve ma place et demande à Noëllie si Goustan est déjà parti. “Il n’est pas encore sorti” me répond-elle.
Ah ben alors j’ai pas trop mal nagé me dis-je à moi-même (pas à haute voix, hein, pour ne pas passer pour un fou non plus).
Ma stratégie (dite à la “Kunsch”) est simple : changement intégral. Je préfère le confort, et ai plutôt prévu de faire une très longue balade qu’une course où chaque seconde compte.
Putain, c’est quand même pas facile de s’habiller tout trempé ! Tiens voilà Goustan qui me dit qu’il n’a doublé son frère qu’à la dernière bouée.
Il est au taquet car il repart alors que je suis en train de m’enfiler une banane.
Allez on remet toutes ses affaires dans son sac, un petit bisou à ma chère et tendre et hop je file pour un très long vélo.
Ensuite ce sera : Jean-Marie, Chris, Jeff LC, Isa, Thomas, Will, Jeff Clem
Je saurai par Noëllie que Jeff fait concurrence à Jean-Charles avec une transition de 11 minutes... Si si vous avez bien lu. Il est tellement tremblotant, qu’il a un mal de chien à retirer sa combinaison, et à enfiler ses chaussures...
 
Le début du parcours est super roulant, je ne m’enflamme pas comme prévu, je me laisse doubler. Mes mollets redeviennent normaux, tout va bien !
Y’a même 2 filles qui me doublent sur le plat. Et bééééééé, elles doivent jouer un beau classement.
Au bout de 15 bornes, un groupe de 20 coureurs me doublent. Je fais la leçon à certains en disant “et béééééé tranquille là, ça drafte !”.
Je me retourne. Tiens y’a Frédéric le frère de Goustan derrière moi (à distance respectable). Il me fait un coucou de la main.
A 25 kms,  la course commence par la montée de l’Alpe du Grand serre, 15 bornes à 8% de moyenne. Ca monte, mais pas trop dur. Dès le pied, je me règle sur une allure respectable mais cool. Frédéric est à côté de moi, et on la monte ensemble en faisant la causette (merci à lui, le temps passe vachement plus vite). A 2 kms du sommet, Jean-Marie nous passe. J’avais parié 60€ la veille qu’il finirait devant moi. En me passant, il me dit “je te soupçonne de freiner pour gagner ton pari”. Je crois qu’il ne se rend pas compte de son niveau, et j’en ai profité (ouais ouais, je sais c’est moche).
Ravitaillement en haut, je perds Frédéric de vue (il a pris plus de temps à prendre un bidon).
Je fais la descente tranquille pour l’attendre, et hop, une fois qu’il arrive, on repart ensemble.
- Jean-Marie est derrière, m’annonce t’il
- hein, ah bon ?
- Oui, il s’est arrêté au ravitaillement”.
Petite montée de 3 kms, puis ça redescend, puis ça remonte, puis ça redescend et hop le ravito perso. Je préviens Frédéric que je m’arrête prendre le mien, il file.
Voilà le col d’Ornon qui commence. Il est assez roulant.
Jean-Marie me re-rattrape, il roule 2’ avec moi. Il me dit que Frédéric est derrière. Euhhhhhh non, je lui dis qu’il doit plutôt être devant. Bref, je ne sais plus qui a raison...
La pente est un peu plus dure, et je fais donc un au revoir à Jean-Marie (qui part devant), car vu les pourcentages qui s’annoncent, je prévois de ne le revoir qu’à l’arrivée.
Les 4 derniers kms sont durs, et il fait chaud. Moralement, cela devient un peu dur lorsqu’on se dit que la véritable course débute au pied de l’Alpe et que ça commence à être difficile.
A 2 kms du sommet, je rejoins Frédéric, il n’est pas très bien, et je sens que cela lui fait du bien de me voir. Cela le relance un peu.
On fait la descente ensemble, et 3 kms après... le voilà... le tant attendu...
Virage à gauche et BIM la vraie course commence...
Je prends 10 mètres à Frédéric. Je l’entends grommeler derrière “putain, j’suis resté sur le grand plateau”. Ah ouais, une pente à 13% sur le grand plateau et après 100 kms, ça doit faire son effet =P
Il repasse le petit et on se remet côte côte pour la montée.
Au bout de 7 kms, je ne sens plus d’énergie et je lui dis de filer. Il prend 5 mètres, et finalement pas plus. Puis finalement, je les reprends, et on se remet côte côte... Bref, cela durera jusqu’au parc à vélo (je vous l’ai déjà dit, le triathlète est grégaire). Finalement nous sommes autant fatigué l’un que l’autre.
Je me dis plusieurs fois dans la montée que j’arriverai à poser le vélo, mais que je ne sais pas si je pourrai partir courir.
 
Allez enfin le sommet. Je pose le pied à terre, et finalement, ça va. Pas de crampe, une foulée quasi-normale.
Rechangement complet. Frédéric qui a gardé sa tenue me fait un signe de la main, il part seul.
Arf mince... J’ai laissé ma serviette en bas... Euhhhhhh comment se changer sans montrer son cul à tout le monde ?
Et bééééééé la stratégie est simple : je baisse mon maillot de vélo autour de mes hanches et me change dessous (ok ok ce n’est pas très pratique, mais cela évite aux spectateurs de tomber dans les pommes).
 
C’est parti pour la CAP. Je suis planté dans le premier tour (autour de 6’ au kilo). Purée cela risque d’être interminable...
Premier tour en 43’, et il y en a 3... Heureusement, la descente de l’altiport me fait un bien fou et  me relance pour les 2 derniers tours que je fais en environ 36’.
Les supporters sont là à la fin de chaque tour  : Noëllie, Stéphane un autre copain  & ses 2 enfants, une autre copine et ses 2 enfants. Ca gueule et ça fait du bien...
Bref, on en chie mais on est content d’arriver.
Je ne croise que Thomas et Will sur les aller/retour de la Cap. A l’arrivée, Goustan et Jean-Marie sont déjà là depuis 20’.
Les autres Nantes Tri arrivent étalés dans le temps.
Jaccuzi, massage, douche et pâtes, puis encouragement pour Will et Jeff dans leur dernier tour de CAP.
Will a un mal de bide, il repart en marchant... Il a malgré tout bonne mine, il va finir sans problème.
 
Remise d’un magnifique trophée à Zaza pour son dernier trophée sous les couleurs de Nantes Tri. Puis raclette et dodo.
C’était une super épreuve et une superbe journée avec encore 9 Nantes Tri sur 9 à l’arrivée.

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